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période de jeu : avril 2029
En ce début de printemps, les températures sont en hausse à Londres et les citoyens britanniques peuvent de nouveau profiter des parcs et autres activités en plein air. Veillez cependant à respecter les zones sorcières et les zones non-magiques, car la Milice Nationale rôde toujours !

Message approuvé par la Coalition
sous les projecteurs
La nouvelle saison de la Purge est désormais lancée, plus d'informations sur l'intrigue ici. Qui sont donc les heureux élus de l'émission vedette de la NGBC ? Enfin, un discord a été spécialement créé pour le forum, n'hésitez pas à nous rejoindre. On vous y attend nombreux !
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 she walks the streets so mean (mireya)

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Mireya Veranes
Mireya Veranes
CITOYENS NEUTRES
DATE D'ARRIVEE : 29/04/2019
MESSAGES : 22
MONNAIE : 61
PSEUDO : mathy
AVATAR & CREDITS : ana – (av) alcuna licenza, (gifs) drewtanner, (lyrics) arctic monkeys
she walks the streets so mean (mireya) Tumblr_o1e2c62TLg1sognhno8_r1_250
ÂGE : trente-trois ans.
ASCENDANCE : (half-blood) n'en fait pas grand cas et trouve les idéaux de la pureté sanguine obsolètes.
STATUT CIVIL : (married) union parfaite sur papier mais les non-dits et un drame récent ont élimé la complicité du couple.
METIER : (sophos initiative) le futur, l'œuvre d'une vie que rien, pas même un régime politique, ne détruira.
RÉPERTOIRE RP : miresyl#1, rp#2, rp#3 / #9f4c5e
CADENCE D'ÉCRITURE : une à deux semaines, dépendant des facteurs irl.

repello wizard

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MessageSujet: she walks the streets so mean (mireya)   she walks the streets so mean (mireya) EmptyLun 13 Avr - 17:34

mireya veranes ribeiro
“ And the blame that you claim is all your own fault, But you've been crying out for forever, But forever's come and gone, You keep begging for forgiveness, But you don't think you've done wrong ”

nom : un patronyme sans valeur ni histoire, dont l’insignifiance presque insultante, une fois les échelons gravés, lui a longtemps pesé. Veranes – des consonances exotiques, chaudes lorsqu’elle le prononce avec son accent d’ailleurs, mais qui, outre le souvenir d’une contrée marquée par la révolution, évoque seulement le déracinement. De ses lèvres ont coulé mille et un mensonges au sujet de ce nom, et à défaut de porter quelque illustre personnage ou légende au sein des ramifications inexistantes, elle a enjolivé, en gamine effrontée, furieuse de n’être « rien », sinon la fille d’une bruja foldingue, elle a hâblé autant qu’elle pouvait, jusqu’à obtenir les égards attendus. Fière de sa réussite, elle utilise peu son nom marital, Ribeiro, pourtant porteur d’un certain rayonnement au sein du monde magique – elle refuse que cette ombre, même salvatrice, minimise ses succès personnels. prénom : Mireya, et il faudrait s’adresser directement à sa pauvre mère afin d’obtenir une explication quelconque, mais elle apprécie la douceur qui s’en dégage tant elle est absurde, une fois les sourires charmeurs ravalés. naissance, nationalité & âge : née le 14 avril 1996 à Miami, Floride, traînant avec elle le poids d’un exil imposé – de Cuba, elle a les origines et les récits maternels. Père inconnu, probablement un pauvre con, car sa mère s’amourachait uniquement d’hommes infects et ses relations sans lendemain se terminaient toujours sur la table de la cuisine, le visage trempé de larmes et le foie macérant dans le rhum. Américaine, quoique de mauvaises langues lui ont sifflé de « repartir dans son pays » – pays qu’elle n’a jamais connu, soit dit en passant. Elle a récemment pu réclamer la nationalité britannique. ascendance : métissage sanguin lorgné avec dédain – élevée au sein d’une communauté sorcière, de sang-mêlé mais considéré « souillé », elle ne s’est guère laissée influencée par les idées isolationnistes des uns et des autres. Trop curieuse, trop têtue, trop rebelle, déjà, pour obéir à des valeurs dépassées. scolarité : accueillie sur les bancs d’Ilvermorny, alumni de la maison Wampus, elle s’est amusée à défier l’autorité tout en se hissant en tête du peloton de classe, avec pour seul objectif d’être la meilleure possible, quelle que soit la matière. Une quête du prestige à double-tranchant : furieuse dès lors qu’un obstacle entravait sa route, elle était capable des coups les plus bas afin de récupérer sa très chère place – aussi s’est-elle employée à mettre des bâtons dans les roues à quiconque l’importunait. L’esprit retors, elle a été menacée d’expulsion après la découverte (fortuite ? « I was set up », continue-t-elle de marmonner) de ses diverses petites combines au sein de l’établissement. Entre la revente de sujets d’examens et un club de duel clandestin, elle ne tarissait pas d’idées à partir du moment où l’argent entrait en jeu. Un arrière-goût de délinquance dans le gosier, elle s’est expatriée au Royaume-Uni, attirée par leur carte d’études supérieures. Étudiante à l'USML, elle a parachevé son apprentissage des runes et s’est piquée d’intérêt pour l'ingémagie. occupation actuelle : membre du conseil d’administration de Sophos Initiative et l’une de ses principales actionnaires – ils sont loin désormais, ses modestes débuts de petite stagiaire dégourdie (pas payée, bonne à essuyer les colères sourdes d’Avramenko et lui déposer un café serré sur le coin d’un ersatz de bureau), et si elle brille en recherche et développement (où elle se sent véritablement à sa place), elle s’est révélée être une redoutable businesswoman. Si intransigeante qu’elle ne fait pas l’unanimité auprès des employés – mais ils préfèrent avoir affaire à elle plutôt qu’affronter le bloc de glace ukrainien. statut matrimonial : habituée à une solitude confortable et aux relations sulfureuses, pour ne pas dire scandaleuses, elle cultivait à l’égard de l’amour une indifférence nimbée de méfiance. Elle souhaitait tirer avantage de ses liaisons, et ils ont tremblé devant cette jolie plante se muant en mante religieuse, nourrie des confidences soufflées sur un oreiller. Chantage, fausses déclarations de harcèlement, elle a tout osé si cela pouvait donner un coup de panache à sa carrière bourgeonnante. Et elle a trouvé un adversaire à sa taille, dont elle s’est éprise comme une sombre conne. Épouse de Gabriel Ribeirole Gabriel Ribeiro, puissant procureur du Wizengamot –, elle a désormais intégré les cercles « select » des hautes sphères du pouvoir, toute fière de montrer à qui doute encore le diamant brillant sous son anneau doré, emboîtés l’un après l’autre sur son annulaire. Cependant, une fois les portes fermées, dépouillés de leurs sourires et parures éclatants, le couple s’enlise dans des disputes de plus en plus virulentes. inventaire : trésor parmi les trésors, sa (deuxième) baguette, extension naturelle de son bras, ouvragée dans du bois de chêne rouge – que l’on murmure idéal pour les duels et ce n’est pas elle qui réfutera ces dires, un rictus malicieux étirant les lèvres charnues –, contient un croc de chupacabra et s’étire sur quelques trente-trois centimètres. Un mariage d’ingrédients peu commun pour un objet taillé sur mesure, obtenu dans une petite boutique de Miami avant son départ à Londres – le propriétaire, baguettiste chevronné, avait coutume d’étudier le comportement des jeunes sorciers et leur conseillait de changer une fois leurs études terminées. Des runes parcourent le manche afin d’améliorer et stabiliser les enchantements, une pratique commune parmi les runistes avisés. Outre cette fidèle alliée, Mireya garde sa vie précieusement rangée dans des sacs luxueux – maquillage, cigarettes, gadgets – et porte sa nouvelle richesse sur le dos avec un aplomb indécent. allégeance : la sienne avant tout. Ne s’intéressant guère aux conflits désuets embrasant les idéologies (le concept de valeur du sang est obsolète, la séparation entre no-maj et sorcier est une ineptie), elle gravite là où les opportunités la servent. L’ambition luisait dans son regard, à l’époque où le Royaume-Uni, de toutes les nations magiques, abolit ce satané Secret, mais elle n’est pas réellement surprise de la tournure qu’ont pris les évènements. Le monde n’était sans doute pas prêt pour un tel chamboulement. particularités : certifiée Maître Runiste depuis quelques années (après un apprentissage des plus rigoureux), elle affectionne tout particulièrement cette forme de magie quelque peu « intellectuelle » – souvent, les quidams s’imaginent les runistes plongés dans d’épais grimoires poussiéreux, à décrypter des signes inconnus, le bout du nez noirci d’encre. Ce n’est pas totalement faux, mais l’exigence requise par les runes l’a poussée à redoubler d’efforts afin de parfaire ses connaissances. Deux runes sont gravées à l’intérieur de chacun de ses poignets : elles servent à rééquilibrer sa magie et à améliorer ses talents de duelliste. Une autre, tracée à la naissance de sa nuque, est supposée empêcher les attaques d’un legilimens (ou du moins, considérablement les affaiblir, dépendant de l’adversaire). avatar : Ana de Armas.

choses à savoir : (basic instinct) Cette bouille mutine est un leurre terriblement trompeur, et ils furent nombreux à n’y voir que du feu, dans son petit jeu savamment rôdé. Peste, salope, femme fatale, elle a rapidement compris comment le monde fonctionnait, et tout particulièrement les hommes – ceux qui détiennent le pouvoir, le vrai, qu’elle convoite depuis son enfance miséreuse, à patauger dans la fange de l’humanité. Une fois ses émotions calfeutrées, elle a pris avantage de ce que la nature lui avait offert : son corps, la seule arme à même de décimer une armée entière. Si elle n’a pas sacrifié sa dignité sur l’autel de ses ambitions démesurées, il y a de fortes chances que les regrets l’assaillent parfois, au beau milieu de la nuit, lorsque le silence devient un ennemi retentissant. Elle a accepté d’être utilisée, traitée comme une moins que rien, de la chair fraiche, une jolie nana à malmener au gré des envies et des fantasmes, et bien qu’elle attirât dans ses filets des despotes friqués, s’être ainsi offerte, instrumentalisée, pour gravir les échelons lui fout la gerbe. Mais elle ne l’avouerait pas sous la torture, et garde précieusement ces souvenirs saumâtres dans un coin ranci de sa mémoire. (material girl) Enfant, elle a manqué de tout. Pas d’argent, pas de jouets, pas de jolies robes, pas d’éducation. Elle a appris sur le tas, dans la rue, auprès des voisins, des commerçants du coin, et allait se perdre dans de beaux quartiers, souvent no-maj, longeant les avenues où se dressaient d’immenses panneaux publicitaires et des enseignes clinquantes. Armée d’une glace, elle se postait devant une vitrine dépouillée (le minimalisme fortuné), fixait longuement les mannequins arborant des vestes plus chères que le prix de son appartement exigu, et elle se jurait qu’un jour, un jour, elle entrerait dans cette boutique et paierait au comptoir avec le flegme d’une habituée – pas de la pouilleuse qu’elle était alors. Pendant ses études, alors qu’elle enchaînait les petits jobs crasseux afin de joindre les deux bouts, elle sacrifiait son obole dans les vêtements, le cosmétique, s’endettait bêtement pour exister aux yeux de tous : « mirame », criait cette voix intérieure. Elle entretient un rapport ambivalent avec l’argent : un jour, elle claque des sommes colossales dans des futilités, le lendemain, elle pince les lèvres à l’idée de débourser cinq pauvres gallions au coffee shop. Habituée des casinos, adepte des paris en tout genre, elle est très consciente de cette addiction, mais rien n’y fait : la tête lui tourne dès qu’une pièce lui passe sous le nez. (Mauvaise joueuse, pour couronner le tout. S’en prend même aux machins à sous.) (mamá loca) Solana était particulière. Un peu folle, un peu excentrique, montrée du doigt mais pas méchante pour deux sous, juste—étrange. Perchée. Habitée par des songes prophétiques, plus absente que présente, évoluant dans une réalité parallèle à la sienne. Mireya a davantage pris soin de sa mère que l’inverse. À peine pubère et des responsabilités d’adulte. Solana était douée du don du Troisième Œil – malédiction à laquelle sa fille a échappé de justesse. Certains se forgent une certaine idée de la voyance, y perçoivent une chance de contrecarrer les rouages du hasard ou de cultiver une longueur d’avance sur les autres, mais Mireya l’affirme haut et fort : c’est une affliction cruelle qu’elle ne souhaite à personne. Si détenir les clés de l’avenir est un fantasme séduisant, elle a été le premier témoin des dérives de ce fléau. Solana ne maîtrisait pas son don, et sans doute n’était-il pas prévu qu’elle le maîtrise un jour : des visions la frappaient de jour comme de nuit, s’arrêtant parfois des semaines durant pour reprendre aussitôt. Elle jurait entendre des voix, conversait avec les murs, gardant précieusement les prédictions que les esprits lui chuchotaient au creux de l’oreille. Dans ses moments de lucidité, elle traînait sa môme jusqu’au voisinage no-maj et promettait monts et merveilles au badaud qui accepterait de lui offrir sa paume. D’un doigt habile, souvent verni de rose, elle suivait les arabesques inscrites dans la chair, assurait que la fortune était au coin de la rue, que l’amour ne tarderait plus, simplement pour empocher quelques billets. Les voix et les songes eurent cependant raison de cette pauvre âme : Solana se suicida peu après le quatorzième anniversaire de Mireya. Elle garde un souvenir étrange de sa mère. Une femme intelligente, débrouillarde, hantée, mais aucunement maternelle. Une sœur aînée, peut-être. (Elle ne se souvient pas s’être étranglée de larmes en apprenant une mort attendue.) D’elle, elle garde l’apprentissage du tarot et quelques autres entourloupes divinatoires (bien qu’elle ait une confiance absolue dans les cartes). (don’t watch me cry) Très (trop) sûre d’elle, très (trop) en contrôle, elle sait ce qu’elle veut et l’obtiendra par tous les moyens nécessaires. Sur les bancs de l’école, concentrée à l’extrême, elle engloutissait le savoir dispensé par les professeurs dans l’espoir de duper son monde quant à son indigence sociale. Obsédée par l’idée d’atteindre le sommet, elle suait sang et eau sur ses devoirs et ne tolérait aucune forme de rivalité : aussi, elle s’évertua à éliminer ses adversaires – du reste, ses sabotages mesquins commencèrent tôt. À treize ans, vexée par une note moyenne obtenue avec un groupe d’assistés, elle a trafiqué les plumes de ses camarades avant un examen comptant pour plus de la moitié de la note finale. Remarquée par le corps enseignant, autant en bien qu’en mal, plusieurs fois recadrée dans le bureau du directeur, encensée puis menacée, elle a tiré un malin plaisir à diviser l’opinion : comptaient-ils vraiment renvoyer une telle étudiante, promise à un avenir brillant ? Elle jouait sur tous les fronts, Mireya : clubs, associations, concours… Ses parchemins de motivation et son dossier (presque) exemplaire s’épaississaient à vue d’œil, et auguraient une place de choix dans l’université qu’elle convoitait. À dire vrai, en dépit de sa réussite, il y a de la haine en elle. Une rage féroce, ardente. Des hurlements muets se faufilent dans ses tripes et demeurent bloqués au fond de sa gorge. Qu’importent les triomphes et accolades – l’injustice est toujours là, et sa soif de reconnaissance aussi insatiable que son ambition désespérée. (techomageek) Circulant aux États-Unis depuis les années 1990, la technomagie a ses détracteurs et ses adeptes : les conservateurs s’insurgent, craignent l’extinction des valeurs (désuètes) de leur monde, sans parvenir à stopper le progrès. Ilvermorny a été l’une des premières institutions du pays à s’adapter – ou tout du moins, à devoir s’adapter. La génération Google étant aux portes du château, il était inconcevable pour des gamins arrachés de leur foyer no-maj (et de leurs ordinateurs) de s’accommoder d’un quotidien sans Internet. Mireya s’est piquée d’intérêt pour la chose dès sa première année, fascinée par les gadgets ramenés par ses camarades. Friande d’études no-maj, elle s’est empressée d’acheter à son tour un téléphone portable afin d’en examiner le contenu et s’amuse à développer des applications, d’abord destinées aux étudiants (l’une d’entre elles a suscité des avis très mitigés – censée « aider » pendant les examens d’arithmancie, elle résolvait les équations). À dix-sept ans, elle participe à un concours de jeunes technomages en herbe, une inscription hasardeuse, encouragée par un professeur bienveillant (qui préférait qu’elle mette ses talents à profit plutôt que courir le risque d’être virée de l’école). Elle propose sa dernière trouvaille : un réseau social pour Ilvermorny, baptisé Agora. Empruntant sa forme aux miroirs à double-sens et muni d’une plume connectée, l’objet offre un éventail de possibilités : discussions privées, groupchats, conférences vidéo, bibliothèque dématérialisée, gazette interactive, petites annonces… le prototype est fraîchement accueilli par le panel de juges (ils relèvent notamment les instabilités des options de navigation, les défauts de l’interface, les risques de sécurité). Coup dur, difficile à encaisser. Plus vexée qu’un hippogriffe, elle récolte la quatrième place. Pas de podium, pas de gerbe de fleurs, pas de médaille. La quatrième place. Le certificat de mérite finit dans une poubelle, en morceaux. (queen of disaster) Si son joli minois inspire une confiance immédiate, Mireya est une mystificatrice de premier ordre jouant de ses atouts, de cette bouille ronde et innocente, d’un regard de biche fardé de couleurs ocres. Égoïste, à l’orée de la cruauté, elle a pour seul dessein de se venger d’un monde qui l’a condamnée dès la naissance. Besoin pathologique de briller, d’être au centre de toutes les attentions, de grapiller louanges et reconnaissance, d’affirmer sa supériorité – manque de confiance, aussi. L’estime est vacillante, l’assurance incertaine, et la chute brutale, prompte à déclencher une ire dévastatrice lorsque ses plans savamment élaborés se cassent la figure. Et il y a des crépitements de vulnérabilité, parfois : Mireya n’est pas si pourrie, à l’intérieur, mais elle n’est pas de ceux qui s’agenouillent, accueillent à bras ouverts les mauvais tours du fatum. Elle n’a pas le temps de s’accorder une seconde de faiblesse, et les larmes bousilleraient son mascara. Menton haut, poitrine relevée, elle préfère chanceler un instant que s’éclater les rotules sur le sol. Peut-être se sert-elle des autres à défaut de cultiver de véritables alliances, peut-être n’a-t-elle aucune considération pour les egos blessés, et sa vision frelatée du monde causera sans doute sa perte – pour l’heure, elle se complait dans une existence dûment méritée.
pseudo : mathy âge : beeuh pays : fr présence : parfois je bouge de ma chaise à mon canapé mais c'est jamais très long  she walks the streets so mean (mireya) 2414192180 que penses-tu du forum ? du mal ofc bizutage accepté ? non merci j'ai besoin de personne :(((( scénario/pré-lien ou inventé : inventé crédits : alcuna licenza (av), bear's den (lyrics), gillian flynn (cit), tumblr (gif) quelque chose à ajouter ? jvm  she walks the streets so mean (mireya) 3259295290  code à remplir :
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Dernière édition par Mireya Veranes le Jeu 16 Avr - 17:00, édité 3 fois
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Mireya Veranes
Mireya Veranes
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MessageSujet: Re: she walks the streets so mean (mireya)   she walks the streets so mean (mireya) EmptyLun 13 Avr - 17:34

fuel on the fire“ And if all of us are play-acting, there can be no such thing as a soul mate, because we don't have genuine souls. It had gotten to the point where it seemed like nothing matters, because I'm not a real person and neither is anyone else. I would have done anything to feel real again.
« Está bien, Mami. »
La gifle l’envoya valdinguer contre un mur. Elle se frotta le crâne, ravala larmes et incompréhension. Un silence de mort s’était abattu sur le séjour. Elle distinguait la rumeur du voisinage, les cris d’enfants en contrebas. Solana avait plaqué ses paumes contre son visage et sanglotait silencieusement, blottie contre un pan de mur. Mireya s’était agenouillée près d’elle, sans chercher à la déloger de son coin. Elle avait simplement approché une menotte timide, rassurante, que Mamá avait agrippé – elle lui écrasait presque les phalanges, tant elle serrait fort, mais malgré ses grimaces, la gosse n’aurait rompu ce contact pour rien au monde. Les transes de Solana étaient terribles. Des cauchemars éveillés. Elle oubliait la réalité, assaillie d’images, hantée par des voix qu’elle était la seule à entendre – et Mireya, spectatrice prostrée de ces crises délirantes, se réfugiait sous ses couvertures, en espérant de toutes ses forces que sa mère occulte également son existence. Parfois, elle ne se rappelait plus. Elle la fixait avec une paire d’orbes vides, hurlait à s’en briser les cordes vocales, pointait un doigt accusateur dans sa direction, frémissante de rage – mais ce n’était pas grave, se persuadait la môme, ce n’est pas grave, Mamá ne la reconnaît pas, c’est tout, ça ne durera pas. (Aujourd’hui, la crise avait débuté à l’heure du repas. Pas le temps de se réfugier ailleurs, pas le temps d’anticiper. Elle avait esquivé la première assiette, s’était planquée sous la table, mais les meilleurs efforts du monde ne l’avaient pas protégée contre les démons de Solana.) « Lo siento, mija, lo siento, » elle répétait, encore et encore, avait encadré son visage entre deux mains fébriles, « lo siento. »

« I’m sorry but I can’t go, » elle lâcha. L’homme la dévisagea, interloqué. « What do you mean? » Du haut de ses onze ans, elle s’exprimait comme une adulte. Solana était partie au marché en début d’après-midi, et lorsqu’on avait frappé à la porte, Mireya terminait de plier le linge. Elle avait attentivement examiné l’individu sous toutes ses coutures, devinant sur le pas de sa porte quelqu’un « d’important », à en juger son accoutrement et sa mine austère, d’autant plus qu’il s’était empressé d’indiquer sa fonction – un représentant d’Ilvermorny. Elle aurait dû s’y attendre : quelques semaines auparavant, après avoir reçu la lettre lui annonçant la rentrée prochaine, elle avait répondu qu’il était « inenvisageable » de partir aussi loin. « My mom is sick, she needs me. I can’t leave her alone. » Elle se débrouillerait – elle se débrouillait toujours.
(Peine perdue.) Certes maligne et plutôt précoce, elle ne s’était absolument pas aperçu de sa naïveté enfantine : en signalant ce « problème familial », elle invita à son insu les services sociaux.

Le portrait sonnait faux.
Elle avait accueilli la journaliste chez elle, pieds nus, toute de naturel parée, cheveux au vent, cernes sous les yeux, avec la vague impression que ce n’était qu’une énième mise en scène d’une « vie simple » malgré sa fulgurante ascension, et le beau mariage qui avait scellé son avenir sur l’Albion, et cette réputation de puta la précédant, et les médisances dont elle n’avait cure. Certainement. Mireya ne laissait rien au hasard, et si elle décidait de mener une entrevue assise en tailleur sur un fauteuil, ce n’était sûrement pas parce qu’elle se comportait ainsi au quotidien. Le photographe avait demandé si elle souhaitait être maquillée, elle avait répondu, oh, juste pour la lumière peut-être, mais pas besoin de ces fioritures. Elle était charmante, sur le papier. Vêtue simplement, timide, presque, semblait avoir été attrapée sur le fait, sans prêter la moindre attention à l’objectif – alors qu’elle avait minutieusement calculé ses angles (c’était mieux dans ce coin, et placer la tête ainsi, et tourner ses épaules de cette manière). Elle avait insisté pour que l’interview se déroule comme une conversation entre de vieux amis, et qu’est-ce qu’elle était douée pour ça, Mireya – bavarde et solaire, ne tarissant jamais d’anecdotes drôles et légères. Un rôle si bien rôdé qu’elle pouvait s’oublier tout entière dans une prestation du plus bel effet – et aussitôt les professionnels disparus de son « humble » demeure, elle perdit sourire et prestance, pesta contre cette gratte-papier de pacotille et sa plume à papote.
Lorsqu’elle reçut le premier jet de l’article (une demande aussi innocente que péremptoire), elle ne se reconnut pas. « It’s a great piece », elle s’empressa de répondre. Son histoire avait été écrite de si nombreuses fois qu’elle commençait elle aussi à croire à la fabuleuse sucess story qu’on lui attribuait – à chaque fois, le récit de ses pérégrinations véhiculait cette idée fausse que tout était possible avec la seule force de sa volonté. Il n’en était rien. Elle oubliait certains détails sordides de son existence, ne mentionnait jamais sa mère barrée, encore moins son enfance dans les quartiers oubliés de Miami. Ce n’était pas accrocheur. Sous-entendre des débuts difficiles et désargentés était sa limite. Le reste, elle le consignait dans des fioles argentées afin de soulager son esprit de souvenirs nauséabonds (les relents méphitiques de l’appartement minuscule qu’elles occupaient, avec Solana, la plomberie défoncée, les murs trop fins, la rumeur persistante du voisinage, les hommes qui allaient et venaient dans la cuisine). Bien sûr, la renommée avait délié une paire de langues ou deux, d’anciens camarades d’Ilvermorny gribouillant des notes incendiaires à son encontre, rapidement démenties dans la foulée.
Elle avait lutté.
Naître femme dans un monde d’hommes avait été sa première erreur, et rester debout un combat de chaque instant.

Gabriel parlait avec un gynécomage, derrière la porte. Elle distinguait son timbre grave, profond, trahissant sa dépendance à la nicotine, mais n’entendait pas la conversation – bien qu’elle eût une vague idée de ses tenants et aboutissants. Elle devinait son incompréhension, anticipait ses questions, et occupait ainsi son esprit, à démêler le fil de paroles feutrées, plutôt que confronter sa triste réalité. Ils l’avaient affublée d’une blouse blanche et gavée de philtres calmants, mais elle ne se souvenait plus vraiment de la nuit passée : seules les sensations subsistaient, la douleur lancinante embrasant son bas-ventre, le sang se répandant sur le carrelage immaculé de leur salle de bain, sombre et visqueux, des caillots entiers, la peur, et cet éclair de lucidité ou de résignation, quand elle se hissa sur ses guiboles tremblotantes pour appeler à l’aide. Sa main palpa son ventre plat, vide. Elle étouffait entre ces murs dressés autour d’elle, et souhaitait de tout son être disparaître – sans savoir si c’était l’appel d’un être qui n’a pas eu le temps d’exister, ou l’échec de mener à bien une entreprise que des milliards de femmes avaient réussi avant elle (sa mère la première). La porte s’ouvrit doucement et laissa apparaître la stature imposante de Gabriel.
« Lo siento, mi amor, » il s’empara de sa main, et ni l’un ni l’autre ne sut comment meubler le silence. Parfois, elle supposait que ça suffisait, qu’aucun mot n’avait besoin d’être prononcé. Il était le plus éprouvé des deux, c’était certain. Rêvait d’un gamin depuis longtemps, parlait à son ventre, trépignant d’impatience à l’idée de connaître le sexe de l’héritier (un garçon, une fille, qu’importe, il aurait chéri l’enfant de tout son cœur, et parce que c’était lui, elle aurait fait fi de ses appréhensions quant à son rôle de mère, mais il était clair dans son esprit qu’elle n’en était pas une). « Está bien. »

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Dernière édition par Mireya Veranes le Jeu 16 Avr - 17:00, édité 1 fois
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Rosalie Fawkes
Rosalie Fawkes
ADMINISTRATRICE
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PSEUDO : Eternal Love (Melissa)
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AVATAR & CREDITS : Emily Browning - Avatar ©loudsilence - Signature ©ASTRA
she walks the streets so mean (mireya) Tumblr_oqe5ugPi191qebbs7o6_r1_250
ÂGE : 31 ans, un visage encore enfantin il y a quelques mois, des rides sont nées sous ses yeux depuis le décès de son époux.
ASCENDANCE : sorcière de sang mêlé, Rosalie a toujours été fière d'appartenir au monde magique.
STATUT CIVIL : veuve depuis cinq mois, elle est toujours en deuil. Toujours a espérer qu'il fasse sonner son téléphone ou qu'il surgisse au détour d'une ruelle.
METIER : Ancienne artiste peintre, elle est devenue milicienne sans réelles convictions, mais par nécessité. Elle fait également partie des hermessengers.
PARTICULARITE : aucune
CADENCE D'ÉCRITURE : Entre une et deux semaines.

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MessageSujet: Re: she walks the streets so mean (mireya)   she walks the streets so mean (mireya) EmptyLun 13 Avr - 17:48

she walks the streets so mean (mireya) 2054319645
TROP DE BEAUTÉ SUR CETTE FICHE ! she walks the streets so mean (mireya) 1011894465 she walks the streets so mean (mireya) 1011894465 she walks the streets so mean (mireya) 1011894465

Bienvenue chez toiiii she walks the streets so mean (mireya) 3751649766 et bon courage pour la suite de ta fiche ! she walks the streets so mean (mireya) 4074051060
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Vasyl Avramenko
Vasyl Avramenko
ADMINISTRATRICE
DATE D'ARRIVEE : 02/12/2018
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PSEUDO : raph
MULTICOMPTES : nedra (cp)
AVATAR & CREDITS : boyd holbrook, tripolars, thom yorke.
she walks the streets so mean (mireya) Tumblr_pfcdk2lPgS1waobqao6_400
ÂGE : (thirty-six) 12.05.92
ASCENDANCE : (wix) issu d'une famille no-maj.
STATUT CIVIL : (divorced) pas foutu de les garder.
METIER : (sophos initiative)
PARTICULARITE : (occlumens)
RÉPERTOIRE RP : rp - rp - rp - rp /#3D7198
CADENCE D'ÉCRITURE : variable (faute aux horaires décalés)

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MessageSujet: Re: she walks the streets so mean (mireya)   she walks the streets so mean (mireya) EmptyLun 13 Avr - 17:58

juste pour toi.
she walks the streets so mean (mireya) 2a18b9fb1dd480728138c51ae6ff7ba8



she walks the streets so mean (mireya) 1583314018
(edit j'en ai oublié de faire ma blague mon tinto de veranes she walks the streets so mean (mireya) 3460602193 )
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Mila Anderson
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DATE D'ARRIVEE : 23/11/2018
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MULTICOMPTES : Ksenia Avramenko (dc)
AVATAR & CREDITS : Taylor Swift ©RedDragon
she walks the streets so mean (mireya) 11
ÂGE : Âge gâté, gamine ratée. Déjà vivante depuis trente-deux années.
ASCENDANCE : Le sang est d'une pureté jamais trompée. Non-magique évidemment.
STATUT CIVIL : Le creux du lit vide, le bas du ventre qui ne s'émeut point. Célibataire.
METIER : Porte-parole de La Coalition. Verbe, arme majeure.
RÉPERTOIRE RP : uc
CADENCE D'ÉCRITURE : Moins d'une semaine

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MessageSujet: Re: she walks the streets so mean (mireya)   she walks the streets so mean (mireya) EmptyLun 13 Avr - 18:13

Encore un perso de fou she walks the streets so mean (mireya) 1378635002 she walks the streets so mean (mireya) 1378635002

she walks the streets so mean (mireya) 3441022978

Re-bienvenue à la maison she walks the streets so mean (mireya) 1908882286 she walks the streets so mean (mireya) 1908882286
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Yasen Avramenko
Yasen Avramenko
ADMINISTRATRICE
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MONNAIE : 441
PSEUDO : .crumble/sevde
MULTICOMPTES : yasen avramenko (cp) leonor chetwynd (dc)
AVATAR & CREDITS : jack o'connell (kane)
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ÂGE : trente-deux ans
ASCENDANCE : sorcier, né de parents non-magiques
STATUT CIVIL : célibataire, il n'est plus ce jeune homme rêveur de vingt-trois ans, sa relation avec maeve a été brisée avant même qu'ils n'aient l'occasion de commencer quelque chose
METIER : fugitif recherché, il travaille comme vaguemestre (hermessengers) + jeune employé au bureau de propagande de la ngbc sous une autre identité
PARTICULARITE : métamophomage, il profite de ce don pour travailler à londres sous une fausse identité en tant que journaliste au pôle propagande de la ngbc
RÉPERTOIRE RP : libre (en cours)
CADENCE D'ÉCRITURE : 1 rp toutes les deux semaines

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MessageSujet: Re: she walks the streets so mean (mireya)   she walks the streets so mean (mireya) EmptyLun 13 Avr - 20:22

@Vasyl Avramenko non mais oh she walks the streets so mean (mireya) 1905793490

techomageek, j'aime tellement she walks the streets so mean (mireya) 3207447920 she walks the streets so mean (mireya) 3259295290 rebienvenuuue, elle s'annonce géniale Mireya donne nous la suite : she walks the streets so mean (mireya) 2463544499 (faut qu'on se trouve un lien avec Yasen ou Leonor hinhin she walks the streets so mean (mireya) 1908882286)
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Cassian Worley
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MULTICOMPTES : sexy seamus (jude law).
AVATAR & CREDITS : adam driver (gatsby).
she walks the streets so mean (mireya) 264
ÂGE : trente-deux ans.
ASCENDANCE : né-moldu.
STATUT CIVIL : séparé, de force, elle est de l'autre côté de la frontière.
METIER : enseignant de défense contre les forces du mal et directeur de la maison poufsouffle ; il est aussi connu pour les livres qu'il a écrit.
RÉPERTOIRE RP : maeve + dispo.
CADENCE D'ÉCRITURE : un rp toutes les deux semaines environ, sauf période chargée.

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MessageSujet: Re: she walks the streets so mean (mireya)   she walks the streets so mean (mireya) EmptyMer 15 Avr - 17:20

Ana she walks the streets so mean (mireya) 1378635002
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche she walks the streets so mean (mireya) 4219720387
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Mireya Veranes
Mireya Veranes
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PSEUDO : mathy
AVATAR & CREDITS : ana – (av) alcuna licenza, (gifs) drewtanner, (lyrics) arctic monkeys
she walks the streets so mean (mireya) Tumblr_o1e2c62TLg1sognhno8_r1_250
ÂGE : trente-trois ans.
ASCENDANCE : (half-blood) n'en fait pas grand cas et trouve les idéaux de la pureté sanguine obsolètes.
STATUT CIVIL : (married) union parfaite sur papier mais les non-dits et un drame récent ont élimé la complicité du couple.
METIER : (sophos initiative) le futur, l'œuvre d'une vie que rien, pas même un régime politique, ne détruira.
RÉPERTOIRE RP : miresyl#1, rp#2, rp#3 / #9f4c5e
CADENCE D'ÉCRITURE : une à deux semaines, dépendant des facteurs irl.

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MessageSujet: Re: she walks the streets so mean (mireya)   she walks the streets so mean (mireya) EmptyJeu 16 Avr - 17:14

@Rosalie Fawkes et toi alors she walks the streets so mean (mireya) 3259295290 she walks the streets so mean (mireya) 3259295290 merci chaton she walks the streets so mean (mireya) 3207447920

@Vasyl Avramenko new phone who dis???????
she walks the streets so mean (mireya) Tumblr_n33l1dmzom1rymr5wo2_250

@Mila Anderson merci mon chat, ça fait trop plaisir de revoir mila she walks the streets so mean (mireya) 3751649766 she walks the streets so mean (mireya) 3751649766 (et de voir des gens encore respectables chez les avramenko psk votre aîné craint un peu bcp she walks the streets so mean (mireya) 3071031261 she walks the streets so mean (mireya) 3071031261 )

@Yasen Avramenko le frangin réussi she walks the streets so mean (mireya) 1618951756 she walks the streets so mean (mireya) 1618951756 (et OFC POUR UN LIEN on a des rp à rattraper she walks the streets so mean (mireya) 4009486164 )

@Cassian Worley ok mais. adam. ??? je?? je suis trop heureuse de le voir jlm tellement she walks the streets so mean (mireya) 1668202241 merci chaton she walks the streets so mean (mireya) 1961523839
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Vasyl Avramenko
Vasyl Avramenko
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MessageSujet: Re: she walks the streets so mean (mireya)   she walks the streets so mean (mireya) EmptyJeu 16 Avr - 17:40

congrats you beaut'C'est pas tous les jours qu'on se fait féliciter avec un merveilleux gif de Leonardo DiCaprio alors il faut en profiter. C'est aussi une manière de vous donner un peu de force pour la suite : la paperasse administrative.
FÉLICITATIONS ! L'étape de la fiche est terminée et te voilà membre à part entière de Repello Wizard. Il reste un peu de paperasse administrative pour pouvoir commencer pleinement à jouer, et suite à ça tu seras définitivement un elfe libre de faire ce qu'il souhaite  she walks the streets so mean (mireya) 3751649766  she walks the streets so mean (mireya) 1416550710  she walks the streets so mean (mireya) 3383422500

Pour commencer, n'oublie pas d'aller recenser ton personnage dans le sujet de recensement général pour figurer sur les listes. Après ça, ton métier, ton camp, ta place dans une famille ou ta particularité seront définitivement à toi (pas de risque de perdre sa place she walks the streets so mean (mireya) 1713061338)

Ensuite, nous t'invitons à poster ton répertoire des personnages, dont les explications se trouvent juste ici. Afin de vérifier ton activité, nous demandons que tu postes au moins deux fois par mois dans ton sujet de recensement, plus d'informations ici  she walks the streets so mean (mireya) 3259295290

Pour pimenter tes RPs, nous te proposons un super système de défis et de missions. Ainsi tu pourras gagner des points  she walks the streets so mean (mireya) 1583314018 En parlant de points, n'hésite pas à venir découvrir notre système de points et la manière de les dépenser en te rendant ici!

Enfin, n'hésite pas à faire un tour dans le coin flood pour décompresser et t'amuser en retrouvant les membres du forum, partager la folie générale  she walks the streets so mean (mireya) 3460602193  she walks the streets so mean (mireya) 1041635636  Le flood d'intégration/bizutage est également là pour rire (ou non) des petits défis de nos camarades. D'ailleurs, tu peux désormais accéder à la partie cachée de ton groupe, pour pouvoir élaborer quelques magouilles tout en discrétion  she walks the streets so mean (mireya) 516349072  she walks the streets so mean (mireya) 1666947232

Dernière petite chose, si tu as accepté de participer au mois d'intégration (on espère que oui, parce que ça va vraiment être fun  she walks the streets so mean (mireya) 3117022351  she walks the streets so mean (mireya) 3207447920), rendez-vous dans cette partie pour découvrir à quel groupe tu appartiens  she walks the streets so mean (mireya) 2463544499

cette fille est un MESS. mais smart, une belle victoire pour la gent féminine  she walks the streets so mean (mireya) 3383422500 (ne demandez pas l'avis de Vasyl mais bon on sait que c'est vrai)
mireya be like :
she walks the streets so mean (mireya) 3a5737ce5694669bc8198aa4852962d3 all day everyday.
she walks the streets so mean (mireya) 3259295290 she walks the streets so mean (mireya) 3259295290


BIENVENUE ET BON JEU SUR RW she walks the streets so mean (mireya) 2080751163

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